La clé gagnante d’une activité artisanale engagée : honnêteté, transparence et bienveillance…

Être une entreprise engagée en matière de développement durable et de responsabilité sociale et environnementale est devenu une nécessité plutôt qu’une option pour les entreprises. Vos clients, collaborateurs et fournisseurs ont des attentes élevées en matière de performance sociale et environnementale.

De plus en plus d’entreprises s’engagent dans une démarche de responsabilité sociétale des entreprises pour apporter une contribution positive à la société, à l’environnement et à la communauté dans laquelle elles opèrent

65% des français recherchent des entreprises engagées en lien avec leurs convictions personnelles*.

Entamer une démarche d’engagement devient aujourd’hui un incontournable. Elle répond aux besoins des consommateurs et fidélise vos clients.

Concrètement, cela peut se traduire en diverses actions. Elles doivent faire sens avec votre positionnement, votre offre, votre service ou vos valeurs.


Votre engagement doit apporter un bénéfice à vos clients comme à vos collaborateurs !

Globalement, plusieurs thématiques se détachent :

  • L’homme, l’éthique du chef d’entreprise, valeurs des salariés et management 
  • L’environnement
  • L’alimentation
  • La matière 
  • Solidarité

Devenir membre ARTISAMONDE, c’est la garantie de succès d’appartenance à une communauté d’artisans de confiance, engagés et responsables.


ARTISAMONDE définit le besoin de transition et de changement durables, en respectant l’environnement donc a besoin notre planète et ses habitants pour vivre en bonne santé dans un monde plus équitable.  

Nous pouvons définir l’esprit ARTISAMONDE par du respect envers soi-même, être fier de ses réalisations et de ses actes, être bienveillant envers l’environnement et la matière.

L’engagement d’une entreprise se concrétise par un ensemble d’actions réalisées en rapport à une cause choisie. Celle-ci se transformera alors en entreprise à mission. Cet engagement aussi bien à destination de ses collaborateurs que de son audience cible. C’est à la fois un engagement interne et externe.

Cela implique de mettre en place des politiques et des pratiques éthiques et durables qui répondent aux attentes des parties-prenantes. Les entreprises engagées doivent mettre en place une démarche de développement durable qui intègre la performance économiquesociale et environnementale dans toutes leurs activités.

Être une entreprise engagée signifie également respecter les normes et les référentiels internationaux tels que l’iso, le Pacte Mondial et le Label Lucie, qui garantissent une évaluation de l’impact social et environnemental des organisations.

Les actions entreprises doivent être associées à une stratégie de communication si vous souhaitez en récolter les fruits auprès de votre audience cible, ARTISAMONDE vous accompagne à votre rythme pour construire une stratégie gagnante avec notre Label de Confiance.

  • D’une part en vous engageant vous répondez à une attente de votre cible, d’une autre, vous développez votre notoriété, image et portefeuille client.
  • L’engagement peut aussi susciter des intérêts à développer et créer des nouveaux partenariats. Cela est également bénéfique en ce qui concerne votre marque employeur mais a aussi un impact sur la motivation de vos collaborateurs.

Pourquoi communiquer sur ses engagements ?

C’est peut-être la question la plus importante. S’engager est pour vous un véritable enjeu en termes de stratégie, votre image de marque et aussi de performance.

L’évolution des technologies de l’information et de la communication a créé le dialogue, il s’effectue maintenant aussi bien dans les deux sens (marque ←→ audience). Une relation privilégiée s’est créée grâce au Web et à l’essor des réseaux sociaux. Vos consommateurs possèdent maintenant une voix aussi importante que la vôtre. On est aujourd’hui passé d’un marketing traditionnel à un marketing relationnel.

L’évolution de la consommation a créé de nouvelles attentes : depuis quelques années maintenant, les nouveaux consommateurs attendent des retours de leurs marques et entreprises, des interactions, de donner leurs avis sur tout ce que vous entreprenez. Mais le plus important, c’est qu’ils attendent également un engagement de votre part. Un engagement auprès d’eux, mais surtout auprès de la société et du monde dans lequel votre entreprise grandit.

Suite à une prise de conscience sur certains sujets on veut maintenant consommer et acheter « mieux ». Le « mieux » est devenu une habitude chez beaucoup de consommateurs. Votre cible n’achète pas simplement votre produit ou service, elle achète : Votre univers ; Votre ADN ; Votre personnalité ; Votre essence

Donc au final, pourquoi s’engager ?

D’une part en vous engageant vous répondez à une attente de votre cible, d’une autre, vous développez votre notoriété, image et portefeuille client.

L’engagement peut aussi susciter des intérêts à développer et créer des nouveaux partenariats. Cela est également bénéfique en ce qui concerne votre marque employeur mais a aussi un impact sur la motivation de vos collaborateurs.

Quel est le piège ?

Le piège pour une entreprise serait de ne pas être authentique dans son engagement. Votre réputation est constamment mise à l’épreuve sur les réseaux sociaux et le Web. Prenez bien conscience qu’aujourd’hui, vous n’avez plus l’intégralité du contrôle de votre entreprise. Ce sont les consommateurs qui font et défont la réputation des marques et des entreprises sur les réseaux. Alors, si ces derniers se rendent compte de votre sincérité limité, ils ne manqueront pas de vous afficher sur la toile et vous risquez donc de réduire à néant vos efforts dans la construction de votre image de marque.

Conseil : Engagez vous non pas pour votre image dans un premier temps, mais surtout pour votre sens moral en cohésion avec votre cible, votre sens moral doit être authentique et vérifiable.

Faire le tri sélectif en donnant des exemples, cartons, verre, résidu pour compost, poids et jours, etc…

Être un artisan engagé et responsable c’est bien, le faire savoir c’est mieux !

ARTISAMONDE permet aux artisans de labéliser leurs engagements sur notre plateforme numérique.


Voici quelques exemples d’engagements que nous vous invitons à découvrir et peut-être vous en servir pour communiquer sur votre charte qualité ….

L’homme :

Respect de chaque individu quel que soit son milieu social, être bienveillant par nature envers son prochain. La valeur d’un homme respectable réside dans sa personnalité, sa sagesse, sa créativité, son courage, son indépendance et sa maturité.


L’éthique du chef d’entreprise :

Nous pouvons définir l’esprit ARTISAMONDE par du respect envers soi-même, être fier de ses réalisations et de ses actes, être bienveillant envers l’environnement et la matière.

En bref respecter la règle d’or, ne pas faire aux autres ce que nous n’aimerions pas que l’on nous fasse…

  • Personne digne de confiance.
  • S’engager directement pour le bien-être de l’humanité
  • Contribuer à l’action des associations
  • Devenir une entreprise à mission
  • Faire du mécénat de compétences
  • Satisfaire les clients
  • Garantir la qualité de service
  • Mettre en place une tarification équitable 
  • Soutenir le commerce de proximité
  • Faire preuve de transparence
  • Respect de l’éthique culturelle des régions
  • Amélioration des conditions de travail des salariés
  • Insertion des jeunes pour la formation professionnelle.

Qualification et valeurs des salariés

La formation professionnelle comme outil de productivité

Arriver à une meilleure employabilité de ses salariés. Un salarié qualifié est plus à même de répondre aux exigences du marché et aux évolutions technologiques. Garantir son accès à la formation booste également sa motivation et, par conséquent, sa productivité.

  • Qualification, expériences 
  • Formation des équipes
  • Reconnaissances professionnelles : ouvrier qualifié, maitre artisan, ambassadeur, etc. …
  • Formation et coaching par un ergonome ou autres pratiques correspondantes aux métiers

Management 

75% des salariés ne quittent pas leur emploi, ils quittent leur manager.

Avoir un mauvais boss peut réellement ruiner toute chance d’engagement de la part des salariés. Si les relations avec les managers ne sont pas toujours au beau fixe, un soupçon de coaching, une pointe de feedback et l’accès à de nouvelles opportunités pourraient y remédier.

  • Proposer des moyens et actions pour fidéliser ses salariés  
  • Se soucier du bien-être de ses salariés et de l’empathie
  • Mettre en place un management bienveillant
  • Egalité et parité hommes femmes
  • Valorisation de leur créativité, les mettre en avant
  • Participation financière aux activités sportives et bien être, marche à pied, clubs et salles de sport, bien-être
  • Proposer des repas équilibrés de qualité 
  • Rendre visibles et inspirantes les valeurs de l’entreprise
  • Salaire équitable, autonomie accordée aux salariés
  • Transparence vis-à-vis de leur rôle au sein de l’organisation
  • Organisation d’événements d’équipe à différents moments de la semaine
  • Formation et le développement de carrière
  • Apprentissage et formation continue
  • Engagement des collaborateurs, participation aux bénéfices 
  • Reconnaître le travail et les qualités de ses employés
  • Former les collaborateurs et les managers au droit à la déconnexion et agir pour un meilleur équilibre vie pro / vie perso
  • Développer sa marque employeur pour attirer les candidats.

L’environnement

Respect de notre planète terre car elle nous nourrit généreusement chaque jour, privilégier les produits respectueux de l’environnement avec une durée de vie importante, qui préservent la qualité des sols, des eaux, de l’air, et évidemment de façon générale les pollutions, la déforestation et l’épuisement des ressources naturelles. Lutter contre l’obsolescence programmée : un fléau pour l’environnement.

N’oublions pas que nous vivons dans un environnement ou tout est énergie, un environnement naturel et un environnement construit….

  • Utilisation de produits nobles et sains de qualité supérieure
  • Former les collaborateurs aux enjeux écologiques
  • Attitude positive pour préserver l’environnement
  • Couper tous les appareils branchés qui ne fonctionnent pas, les veilles des télés, ordinateurs, box, jeux vidéo, etc… 
  • Mettre en place une politique zéro déchet dans son entreprise 
  • Pratique d’une agriculture biologique ou raisonnée
  • Réduction ou suppression de produits insecticides toxiques et chimiques
  • Stage éco-conduite pour l’ensemble des salariés
  • Achats locaux ou de proximité
  • Proposer des articles de seconde main   
  • Suppression de godets, verres, pailles, assiettes en plastique
  • Mise en place d’actions sur l’économie circulaire
  • Proposer un produit ou service 100% neutre en carbone
  • Suppression de flyers et catalogues papier en invitant les clients à découvrir les offres et promotions en ligne, sur le site internet
  • Cendrier écologique pour récupérer les mégots pour ensuite les retraiter notamment en objets ou mobilier urbain
  • Favoriser le télétravail un ou deux jours par semaine
  • Soutenir des associations ou entreprises qui agissent pour l’environnement
  • Utiliser des énergies vertes pour son siège social
  • Limiter le recours aux produits chimiques
  • Favoriser des matières premières écologiques
  • Opter pour des matériaux recyclables ou biodégradables
  • Réduire sa consommation de papier
  • Réduire ses déchets
  • Être labélisé « Label de Confiance » ou certifié RSE « Responsabilité sociétale des entreprises »
  • Eco-concevoir son site internet
  • Concevoir des objets en tenant compte de tout leur cycle de vie et de leur impact en terme de pollution.
  • Miser sur les réparations plutôt que les achats neufs
  • Limiter les déplacements de ses collaborateurs      
  • Favoriser la biodiversité et faire preuve de respect quant à l’utilisation des ressources naturelles
  • Participant à la sauvegarde d’espèces animales
  • Utiliser de manière non abusive les ressources comme le pétrole, le gaz et l’eau
  • Valoriser les déchets créés et disposer de manière intelligente de ceux qui sont dangereux

Alimentation :

  • Proposer des produits labéliser
  • Engagement en faveur du bien-e animal.
  • Éviter le gaspillage alimentaire
  • Garantir un élevage respectueux
  • Consommer des produits naturels

La matière 

Respect de chaque objet, acheter en prenant en compte la réparabilité, durabilité et le recyclage, pour ne pas compromettre les besoins des générations futures mais aussi l’équité sociale et économique. Choisir des fabrications artisanales qui durent dans le temps.

  • Trier et recycler des vieux objets non utiliser pour les centres de reconditionnements et transformations
  • Faire durer et réparer ses outils, équipements et véhicules
  • Créer un compost si vous avez un extérieur
  • Enrichir son parc avec des véhicules plus écologiques
  • Garantir l’hygiène et la sécurité sur le lieu de travail,

Solidarité & Sagesse

Valoriser les valeurs éthiques et solidaires… L’artisanat et le tourisme sont des vecteurs essentiels pour l’emploi, la formation et l’insertion des jeunes. Cela contribue à l’aménagement des villes, à fixer populations rurales et permets l’équilibre des territoires. Les valeurs éthiques et solidaires sont indispensables aujourd’hui pour que l’être humain puisse trouver sa place et son utilité dans le monde actuel.

  • Soutenir l’Artisanat de qualité de cultures différentes
  • Insérer des jeunes dans la formation professionnelle
  • Proposer des remises pour les enfants, étudiants, personnes en situation de handicap et seniors
  • Mettre en place des locaux ou équipements pour faciliter le quotidien des personnes en situation de handicap
  • Agir sur l’emploi local et proximité
  • Former les collaborateurs aux enjeux écologiques
  • Renforcer la diversité dans l’égalité des chances  
  • Socialisation sur le lieu de travail nécessite un environnement favorable à l’intégration

Exemples d’actions entrepreneuriales réussies quel que soit la taille de l’entreprise :

FLUNCH : Une alimentation de meilleure qualité

MONOPRIX : La fin des prospectus papier

FRANPRIX : Des rues plus propres

LES VIGNERONS DE BUZET : Un vin respectueux de l’homme et de la nature

SEB : Faciliter l’utilisation de ses produits

NESPRESSO : Un café neutre en carbone

RECYCLIVRE.COM : Recycler les livres déjà lus

GREENLIV : Un service de livraison écolo

DECATHLON : Entre autres utilisent des énergies vertes pour son siège social.

ZOO PARC DE BEAUVAL : Limiter le recours aux produits chimiques

MICHEL & AUGUSTIN : Favoriser des matières premières écologiques

LA ROSEE, marque française de cosmétiques : A opter pour des matériaux recyclables ou biodégradables

SO’BIO ETIC : Réduire ses déchets de ses emballages…

DECATHLON : Fait de l’éco-conception, en tenant compte de tout leur cycle de vie et de leur impact en termes de pollution.

DECATHON : Mise sur les réparations plutôt que les achats neufs

VINTED, LEBONCOIN et FACEBOOK : Favoriser les achats de seconde main

TOO GOOD TO GO :  Éviter le gaspillage alimentaire

SO’BIO ETHIC : S’engager directement pour le bien-être de l’humanité

SO’BIO ETHIC : Contribue à l’action des associations en donnant 1% de CA

GOOGLE : Se soucier du bien-être de ses salariés en mettant à disposition des services qui rendent leur quotidien plus facile

MICHEL & AUGUSTIN : Reconnaître le travail et les qualités de ses employés

WALT DISNEY : Adopte les bonnes pratiques de gouvernance

MACIF : Limite les déplacements de ses collaborateurs

MACIF : Enrichir son parc avec des véhicules plus écologiques

CREDIT AGRICOLE : Recycle ses cartes bancaires

ELIS : Recycler 90 % de ses textiles loués

LA FNAC : Affiche l’empreinte environnementale de ses produits high-tech

LAFARGE : Mise sur les matières premières recyclées

L’OREAL : Dit stop au PVC

MICHELIN : milite pour l’allongement de la durée de vie de ses pneus

ORANGE : Evalue la teneur en ressources rares de ses équipements

PERNOD RICARD : Vise zéro déchet en décharge et 100 % d’emballage recyclable

PSA : Construit des voitures avec 30 % de matériaux verts

SRB : Mise sur la réparation et la location de ses appareils

NATURE & DECOUVERTE : Place l’humain au cœur de sa stratégie

VVF : Stratégie innovante pour voyager autrement

GIFTS FOR CHANGE : offre des cadeaux écologiques

Conclusion :

Les actions de bonnes pratiques à intégrer dans son entreprise sont multiples. Libre à chacun de choisir l’option qui lui convient, en fonction de ses spécificités, son budget et ses valeurs personnelles.

Pour les prochaines décennies, l’engagement des artisans sera incontournable et vital pour se démarquer des industriels et des margoulins qui seront de plus en plus créatifs et actifs sur internet comme sur le terrain et utiliseront sans scrupules les moyens techniques et marketing de demain pour prendre ce qu’ils pourront.

Pour moi, l’engagement sera la clé gagnante de chaque activité artisanale.

Un artisan ne prend pas, il reçoit les bénéfices de son travail bien fait.  

Bruno VASTEL

Pour tous renseignements et questions, contactez-nous sans hésiter, nous serons ravis d’échanger avec vous pour vous guider et partager nos valeurs.

ARTISAMONDE définit le besoin de transition et de changement durables, en respectant l’environnement dont a besoin notre planète et ses habitants pour vivre en bonne santé dans un monde plus équitable. 

L’ADN ARTISAMONDE est de rassembler des femmes et des hommes dans l’équilibre et l’harmonie pour créer des richesses durables pour tous, avec une culture d’entreprise porteuse d’innovation et de croissance. La collaboration entre salariés va de pair avec la transparence, le sens des responsabilités et une immense bienveillance sur ses collaborateurs et collègues

La règle d’or s’applique au quotidien pour les salariés et membres ARTISAMONDE. C’est une éthique de réciprocité dont le principe fondamental est énoncé dans le presque toutes les grandes religions et cultures : « Traite les autres comme tu aimerais être traité » ou  » Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas que l’on de fasse ».

Acheter durable et consommer responsable grâce à l’artisanat, cela permettra de préserver les richesses naturelles de notre planète pour nos futures générations.

L’objectif est de ne pas compromettre les besoins des générations futures.

  • Durable = Consommer en prenant en compte le recyclage, mais aussi de l’équité sociale et économique).
  • Gaspillage  =  Réduire le gaspillage alimentaire et non alimentaire, votre portemonnaie sans portera mieux ! 
  • Responsable = Acheter des produits respectueux de l’environnent avec une durée de vie importante).

Grâce à la localisation mondiale et à la diversité des métiers de l’artisanat, les artisans ont le pouvoir d’apporter aujourd’hui à notre planète en danger un équilibre biologique plus harmonieux, plus de prospérité et de croissance pour chacun d’entre nous.

Citation de Mère Teresa : Ce qui me scandalise, ce n’est pas qu’il y ait des riches et des pauvres, c’est le gaspillage.  A savoir qu’à l’heure actuelle, un tiers de la production alimentaire mondiale est gaspillée…  Voir conseils ci-dessous pour réduire le gaspillage, liste non exhaustive.

Stratégie de communication ARTISAMONDE :

  • Notre communication est basée sur une stratégie (Inbound marketing durable), sans être intrusive, nos actions de communication marketing sont d’informer et de proposer des services pratiques pour aider les chefs d’entreprises à valoriser leurs compétences, notoriété et visibilité. Nous créons des contenus web dont l’objectif est de susciter l’intérêt et donc d’attirer à nous de futurs membres.
  • Nous ne faisons pas de démarchage agressif (Outbound marketing) à nos yeux trop polluant qui se base sur la technique traditionnelle d’aller chercher de nouveaux clients, d’envahir nos boites à lettre, campagnes emailing, prospection téléphonique, démarchage, porte-à-porte, affichage, street marketing, liens sponsorisés ou encore pubs TV et radio. 

Exemple de nos actions :

Seulement quatre mailings (Communiqué ARTISAMONDE) envoyés par an à nos membres (janvier, avril, juillet et octobre)

Pour réduire l’empreinte carbone, soyons tout simplement responsables de nos actions !

Objectif n°1, réduire l’empreinte carbone

Les principales causes du réchauffement climatique sont :

–       L’importante production de CO2;

–       L’utilisation de quantités considérables de combustibles fossiles ;

–       La déforestation.

Parmi les principales conséquences, on note :

–       Une instabilité des températures et des précipitations ;

–       Un risque pour la vie des hommes et des animaux ;

–       La fonte des glaciers continentaux et alpins.

Les principales conséquences de la fonte des glaces sont :

–       L’élévation du niveau de la mer

–       Submersion importante de zones continentales 

–       Déséquilibre de l’activité cyclonique et anticyclonique.

–       Déséquilibre de la chaîne alimentaire.

–       Perturbation du cycle naturel de plusieurs espèces marines et terrestres.

Il ne reste que très peu de temps pour agir. Les auteurs les plus compétents concluent que sans réduction des gaz à effet de serre et autres pollutions, la migration climatique va probablement croître jusqu’en 2050 puis s’accélérer à un rythme encore plus élevé.

Soyons responsables et engagés !

Pourquoi intégrer l’environnement dans notre stratégie d’entreprise ?

Contribuer à une économie plus responsable pour baisser l’impact sur la santé des gens, l’environnement et le changement climatique.

Améliorer notre image en communiquant sur des actions respectueuses de l’environnement.

Développer notre marque avec le sentiment d’appartenance avec nos collaborateurs en leur permettant de s’engager dans des actions éthiques en phase avec les enjeux sociétaux actuels.

1. REPENSER LES DÉPLACEMENTS DOMICILE-TRAVAIL ET PROFESSIONNELS DE NOS COLLABORATEURS

Les transports représentent le premier secteur émetteur dans l’Hexagone, produisant 29,4% des émissions de gaz à effet de serre en France, dont 95% sont attribuables au trafic routier, selon le ministère de la Transition énergétique.

Il s’agit ainsi de limiter les déplacements en voiture, que ce soit pour se rendre au travail ou pour aller en déplacement professionnel. Favoriser le télétravail et les visio-conférences apparaît comme une solution idéale pour réduire la fréquence de ces déplacements. En proposant le choix à nos salariés de faire du télétravail une ou encore plusieurs fois par semaine, nous pouvons limiter les émissions de CO2 associées au transport et améliorer leur bien-être.

Il est également nécessaire de privilégier les modes de transport moins émetteurs, tels que les transports en commun, le covoiturage, le vélo et la marche. Afin d’inciter ces changements, nous remboursons à 100% l’abonnement aux transports en commun, former nos collaborateurs à l’écoconduite, ou encore d’investir dans des aménagements sur le site pour des abris à vélo.

2. ADOPTER DES ÉCO-GESTES AU QUOTIDIEN

Vous l’avez entendu mille fois : éteignez la lumière lorsque vous sortez d’une pièce, baissez le chauffage, optez pour des ampoules à basse consommation…

Réduire votre facture énergétique dans nos locaux est une étape incontournable et relativement simple à déployer. Deux piliers entrent en jeu : la sobriété et l’efficacité énergétique, le premier s’agissant d’éviter les gaspillages, le dernier consistant à consommer mieux et avec moins d’énergie pour le même niveau de confort.

Concrètement, pour accomplir une consommation énergétique plus sobre, vous devriez consommer de l’énergie uniquement quand vous en avez besoin : éliminez donc les veilles inutiles de vos ordinateurs, imprimantes, photocopieurs, etc. au bureau ! L’efficacité énergétique, quant à elle, repose sur l’utilisation d’équipements performants (et bien classés sur l’étiquette énergie) ainsi qu’une bonne isolation de vos bâtiments.

3. SE MÉFIER DU NUMÉRIQUE

Selon un rapport du WWF publié en mars 2017, l’empreinte écologique quotidienne d’un salarié au travail devant un ordinateur équivaut à la consommation électrique de 80 ampoules allumées pendant la même durée, soit l’équivalent sur une année de 3 100km de circulation en voiture ou la distance entre Paris et Moscou.

La digitalisation a sans doute révolutionné le monde professionnel, avec de nombreux avantages en termes d’efficacité et de dématérialisation des documents au travail, permettant de réduire la consommation de papier. En revanche, le numérique n’est pas dénué d’impacts négatifs, non seulement en raison de la fabrication et le fonctionnement énergivores des appareils électroniques, mais aussi la sollicitation aux serveurs. Des gestes qui peuvent paraître anodins ont en effet une empreinte carbone lourde : envoyer un mail, faire une requête via un moteur de recherche, consulter un site web, etc. Stocker vos fichiers dans le cloud a également transformé les systèmes d’archivage dans les entreprises. 

Comment s’attaquer à ces problèmes ? Premièrement, lutter contre l’obsolescence programmée des équipements informatiques ! Deuxièmement, s’habituer à utiliser l’informatique d’une manière plus raisonnable, par exemple, en saisissant directement les adresses des sites web recherchés et en favorisant les messageries instantanées en entreprise au lieu des mails lourds. Essayez de limiter le nombre de destinataires et de pièces jointes dans vos mails et utilisez des moteurs de recherches écolo comme Ecosia, qui a déjà planté 52 millions d’arbres grâce à ces utilisateurs !

4 – SENSIBILISEZ NOS COLLABORATEURS SUR LES BONNES PRATIQUES

En tant que personne morale, notre entreprise à une responsabilité sociale. Chaque jour, nos collaborateurs se regroupent pour travailler dans nos locaux, tout autant de personnes auprès de qui nous pouvons diffuser des messages responsables : éteindre la lumière quand on quitte une pièce, fermer les robinets, éteindre les écrans d’ordinateurs après utilisation, doser l’usage du chauffage et de la climatisation, trier ses déchets ou encore privilégier le réutilisable au jetable lors des pause-café , mettre à disposition des gobelets personnalisables et réutilisables en s’occupant ensuite de la collecte et du lavage après utilisation. Parler des bons gestes à adopter au quotidien peut se faire d’énormément de façons différentes dans le cadre d’une campagne de communication interne : affichage print, écrans d’accueil, messagerie collaborative (Teams ou Slack), écrans de veille des ordinateurs, séminaire ou conférence sur le thème de l’environnement.

5 – ENCOURAGER LES CIRCUITS COURTS 

L’alimentaire pèse lourd dans la production mondiale de gaz à effet de serre. Il faut être clair, l’entreprise à elle seule ne peut pas inverser cette tendance, elle peut en revanche contribuer à la limiter en mettent en place une action responsable. Vous pourriez par exemple instaurer la livraison d’un panier alimentaire bio pour vos collaborateurs. Un panier qui proviendrait d’un producteur local pour encourager la consommation de produits de qualité dans un circuit de commercialisation court. Des produits issus d’une production plus propre, avec moins de déchets d’emballage et moins de transport entre le producteur et l’assiette du consommateur.

6 – RÉDUISEZ LE PAPIER

Le papier étant le déchet de bureau le plus important, il est intéressant de prévoir un plan d’action au sein de votre entreprise pour le réduire. Votre performance environnementale passe forcément par cette étape. Pour atteindre cet objectif, il existe de nombreux leviers comme la réduction des impressions, l’utilisation des brouillons et des versos, la dématérialisation de vos process avec une solution de GED (Gestion électronique des documents), l’utilisation de papier écoresponsable etc. On vous donne plein d’idées dans un article dédié au papier pour réduire sensiblement votre consommation de papier et faire un pas solide vers la digitalisation.

7 – IMPLIQUEZ LES COLLABORATEURS POUR DES ACTIONS DURABLES (RSE) 

Faire réfléchir et agir nos équipes en mode collaboratif sur le sujet environnemental est une façon habile de les impliquer sur un projet éthique, certes hors métier, mais facilement valorisable pour notre entreprise. Un comité environnemental propose des idées et mène des actions écoresponsables en phase avec notre taille et besoins. Ce genre de collaboration participative permet de faire avancer l’entreprise sur ce sujet d’envergure et voir éclore des idées souvent pertinentes. 

Ce groupe est dédié à la démarche éco-responsable de notre entreprise sous la forme d’action RSE (responsabilité sociale des entreprises).

En clair, c’est une contribution volontaire des entreprises au développement durable, Une structure qui élabore une politique de RSE s’engage à “intégrer les préoccupations en matière sociale, environnementale, éthique, de droits de l’homme et de consommateurs dans leurs activités commerciales et leur stratégie de base”, toujours d’après le texte de la commission européenne. 

8 – LUTTER CONTRE L’OBSOLESCENCE PROGRAMMÉE

Un fléau pour l’environnement, qu’est-ce l’obsolescence programmée ?

L’obsolescence programmée a pour objectif de réduit délibérément la durée de vie d’un produit pour provoquer un remplacement rapide. Apple un été un le premier grand groupe à être accusé de tromperie et obsolescence programmée, en janvier 2018.

Quels sont les répercussions environnementales de l’obsolescence programmée ?

Cette surproduction d’ordures se retrouve la plupart du temps exportés dans les pays du Sud, créant des dépotoirs à ciel ouvert. Ces déchets coûtent de surcroît chers aux pays du Nord puisqu’il faut bien financer les systèmes de collecte des produits jetés. Sur place, les activités de démontage des déchets et de récupération de matière première exposent les travailleurs, dont des enfants, à des substances parfois toxiques comme le mercure et le plomb. Substances qui se déversent dans la nature et la polluent, tandis que les besoins de production de nouveaux équipements épuisent les ressources naturelles. Terres et minerais rares sont les matériaux les plus convoités puisque certaines de leurs propriétés chimiques et physiques permettent le fonctionnement de nombreuses applications de haute technologie.

En résumé :

La « consommation durable » a ainsi été définie comme « l’utilisation de services et de produits qui répondent à des besoins essentiels et contribuent à améliorer la qualité de la vie tout en réduisant au minimum les quantités de ressources naturelles et de matières toxiques utilisées, ainsi que les quantités de déchets et de polluants tout au long du cycle de vie du service ou du produit, de sorte que les besoins des générations futures puissent être satisfaits ». C’est cette définition qui a été utilisée à l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques).

La « consommation responsable » est un mode de consommation qui prend en compte les critères du développement durable, c’est-à-dire une consommation qui soit à la fois respectueuse de l’environnement, bénéfique pour l’économie (notamment locale), bonne pour la santé, mais aussi positive pour la société. Le dérèglement climatique est l’affaire de tous, et le développement durable est un des principaux leviers pour le stopper, il est important que chacun y prenne part.

50 Astuces pour réduire votre gaspillage alimentaire

Comment réduire votre gaspillage alimentaire ? Investie de longue date contre ce fléau environnemental, éthique et économique, France Nature Environnement vous livre ici 50 astuces pratiques à appliquer sans modération.

1, 2, 3… c’est parti pour 50 astuces pratiques contre le gaspillage alimentaire.

PENDANT MES COURSES

1. Établissez une liste. Avant de partir, faites le tour de vos stocks et notez ce dont vous avez besoin. Vous éviterez ainsi les pots de crème fraîche en double ou une montagne de courgettes à consommer rapidement. 

2. Ne vous laissez pas berner. Vous êtes tentée par la promo-choc, la réduction monstre, la jolie tête de gondole ? Une question à se poser : allez-vous vraiment le manger ? Si vous êtes en solo, pas sûr que ce pack de 20 yaourts sera consommé. Par ailleurs, une comparaison des prix révèle parfois de curieuses surprises sur la véracité des prix de cette « maxi-promo ».

3. Mangez avant de faire vos courses. Quand notre ventre crie famine, nous avons naturellement tendance à avoir les yeux plus gros que le ventre. Résultat : c’est votre poubelle qui engloutit.

4. Respectez la chaîne du froid. Commencez à remplir votre panier avec les produits secs, puis frais avant de terminer par le surgelé mis dans un sac isotherme. Vous préviendrez ainsi le développement de bactéries qui vous feront soit jeter ces aliments, soit attraper une bien désagréable intoxication alimentaire.

5. Rangez votre panier avec bon sens. Les tomates cerises sous le pack de lait ? Évitez. Plus le produit est fragile et léger, plus il se trouve au-dessus du panier. Une mesure de bon sens qui évite de bien pénibles expériences gaspillage.

6. Adoptez le vrac pour la juste dose. Privilégiez le vrac permet d’acheter la juste quantité : exit donc les 18 kg de carottes pour une personne solo.

7. Évitez les produits tout-fait. Lors de la chaîne de production, un produit « tout fait » tel que vos lasagnes à cuire en 2 minutes chrono génère en moyenne plus de gaspillage alimentaire tout au long de sa chaîne de fabrication que les petits plats que vous concoctez vous-même.

8. Adoptez les moches. Autant que possible, ne boudez pas les fruits et légumes un peu tordus, moches ou non calibrés. Ils sont tout aussi bons et vous contribuerez, à votre échelle, à faire évoluer les standards de calibrage du légume « tout lisse » actuellement en vigueur dans bon nombre de magasins.

9. Exit l’abandon de produits frais en caisse. Allez, un brin d’effort, si vous avez changé d’avis, remettez ce produit dans le frigo où vous l’avez trouvé car s’il n’est plus au frais, le magasin va le jeter… et donc générer du gaspillage alimentaire.

L’HEURE DU RANGEMENT

1. Premier arrivé, premier parti. La profondeur de nos placards et frigo sont à l’origine d’une bien injuste source de gaspillage. Nous avons tous tendance à moins penser aux aliments que l’on ne voit pas directement. Pour éviter ce gaspillage du yaourt coincé au fin fond du frigo, rangez par ordre d’arrivée. Le mantra ? Premier arrivé, premier parti. Donc les aliments de la semaine dernière sont rangés en tête de vos placards et frigo.

2. Dans le frigo, à chaque ingrédient sa température. Votre molette de réglage de température a beau être bloquée à 4°C, les températures varient entre les différentes places de votre frigo. La bonne nouvelle ? Dans la variété de vos aliments, chacun possède sa zone de confort, comme le montre ce dessin.

1. Nettoyez les espaces de stockage. Pour éviter l’installation d’intrus telles que les mites alimentaires, les moisissures ou les simples mauvaises odeurs, pensez à nettoyer régulièrement placards et frigo. L’occasion également de vérifier que chaque ingrédient est bien protégé.

2. Évitez les exercices d’équilibristes du rangement. Pour éviter de casser la succulente confiture de cassis maison ou de ratatiner les abricots, chassez les équilibres précaires, les risques d’écrasement ou d’étouffement de vos aliments. Vos placards ressemblent à un quai de train un jour de grève ? Il est temps de faire place nette.

3. Non, tous les fruits et légumes ne vont pas au frigo ! Le frigo, meilleur allié pour une bonne conservation ? Pas si simple. De nombreux fruits et certains légumes se conservent mieux à l’air ambiant. Parmi eux, les bananes, melons, nectarines, abricots, pêches, fraises ou encore tomates préfèrent le grand air. En règle générale, tous les fruits exotiques également. Ressortez donc votre jolie panière pour garder toute la qualité gustative de ces aliments.

4. Herbes aromatiques fraîches. En règle générale, elles n’aiment pas vraiment les coups de froid. Pour les conserver plus longtemps, ou leur redonner un coup de fouet, plongez leur tige dans un verre d’eau à l’air ambiant.

5. Faites faire trempette à vos légumes. Les poireaux, brocolis, oignons nouveaux, céleri, blettes et autres salades se conservent également plus longtemps à l’air libre et apprécient être conservés… les pieds dans l’eau.

6. Pour des pommes de terre au top. Pour retarder l’arrivée inéluctable des germes sur vos pommes de terre, plusieurs astuces sont à connaître. Le b.a.-ba ? Les conserver à l’abri de la lumière, si possible dans un endroit frais et sec (le cellier étant leur place rêvée). Éloignez-les des oignons, ils ne font pas bon ménage. À l’inverse, une ou deux pommes dans le bac de pommes de terre permettent de ralentir leur germination, testez donc ce duo magique !

7. Faire durer le pain. Marre de sortir la scie sauteuse pour se couper une tranche de pain de la veille ? Adoptez deux alliés : la pomme (oui, encore elle !) et un torchon. Enveloppez votre pain ou votre baguette dans le torchon (sec et propre, le torchon, s’il vous plaît…) et glissez une pomme dans la corbeille de pain. Ensemble, ces techniques permettent de ralentir l’effet béton. Petite précision : évitez de pré-couper des tranches, elles se gardent moins longtemps.

8. Contre le fromage durci : beurrez un peu la tranche coupée, cela permet de conserver l’humidité et le moelleux de vos fromages préférés.

9. Astuce spéciale boissons gazeuses entamées : rangez-les la tête en bas, cela évitera au gaz de s’échapper !

10.  Adoptez les boîtes hermétiques en verre. L’avantage ? Vous pouvez voir vos aliments directement, et même surveiller leur état. De plus, elles permettent de conserver le croquant de vos biscuits, de vos chips et autres aliments secs et assurent la bonne conservation de vos aliments, qu’ils soient dans vos placards ou votre frigo.

BESOIN D’UN RAFRAÎCHISSEMENT ?

1. Coup de fatigue des légumes ? Faites-leur prendre un bain d’eau froide une nuit au frigo, ils auront retrouvé leur croquant le lendemain.

2. Face aux petites racines. Si vos légumes et fruits montrent de petites racines, plongez-les également dans l’eau, ils se conserveront plus longtemps.

3. Salade défraîchie : Mettez un morceau de sucre dans un grand volume d’eau. Laissez tremper trois quarts d’heure pour lui redonner un coup de jeune.

4. Du pain un peu sec : En l’humidifiant et le passant au four ou au micro-onde, il retrouvera un peu de croustillant. Le faire griller fonctionne aussi très bien pour une bonne tartinade.

5. Fromages durcis : une fois râpés, ils feront une agréable alternative au gruyère dans vos plats.

ZOOM SUR LES DATES DE PÉREMPTION

1. Différenciez les deux appellations. La Date Limite de consommation, surnommée DLC mentionne « à consommer avant le… ». Elle marque une certaine limite sanitaire. A contrario, la Date de Durabilité Minimale, aussi appelée DDM, indique « à consommer de préférence avant le… »). Elle n’induit pas de risques pour la santé : ces produits sont donc consommables après.

2. En cas de léger doute sur des produits frais (viande, poisson, crèmerie,…), commencez par faire confiance à vos sens : observer, sentir, goûter peut vous éviter de jeter un produit de la veille.

3. Adaptez vos courses à ces dates : si vous comptez manger ce steak ce soir, peu importe que sa date soit au lendemain, n’est-ce pas? C’est toujours une denrée que le magasin ne jettera pas !

4. Produits secs : pas de panique. La date de durabilité minimale de vos produits secs est dépassée ? Pas vraiment inquiétant. Les produits secs et de nombreux condiments se conservent des mois et même des années après cette date.

5. Info yaourt : sachez qu’un yaourt dans son pot se conserve jusqu’à 3 semaines après sa date de péremption, mais une fois ouvert, il faudra faire vite.

6. Notez les dates d’ouverture : il est ouvert depuis quand ce pot ? Depuis quand ces lasagnes traînent-elles dans le frigo ? Pour ne plus douter, n’hésitez pas à noter les dates sur l’emballage ou sur vos beaux bocaux.

7. Zoom sur les promo de dernières minutes : de plus en plus de supermarchés proposent des réductions sur leurs produits arrivant à date, n’hésitez pas à faire ces économies si vous avez bien prévu de manger ces produits.

8. Le miel ne périme pas ! Vous pouvez vous régaler après des centaines d’années. Veillez cependant à ne pas prendre une version de miel coupée au sucre, qui ne réagit pas de la même manière…

À LA CUISINE

1. Cuisinez ce qui va périmer en premier : oui oui, c’est une mesure de bon sens, malheureusement pas toujours très bien suivie.

2. Calculez vos doses : au lieu de verser vos pâtes/lentilles/riz/pois directement dans la casserole, remplissez un verre pour connaître, au fil de vos tests, votre véritable consommation et ainsi cuisiner la juste dose.

3. Croquez ces zones méconnues. Fanes de radis ou de carottes, épluchures en tous genres, cosses de petits pois, carcasse de volaille ou de poisson… toutes ces choses se mijotent et se révèlent succulentes. Élargissez vos horizons culinaires en testant de nouvelles recettes. Un joli régime pour vos poubelles.

4. Ne jetez pas les restes. Selon la quantité, ils pourront vous faire un autre repas, ou être incorporés dans une nouvelle recette. Belles économies à la clef !

5. Faites des conserves. Vous avez la chance d’avoir des kilos de haricots, cerises et autres fruits et légumes dans votre jardin ou vos placards ? Préparez des conserves afin de pouvoir les manger toute l’année, ou congelez ces aliments et vos préparations alimentaires. Un bon moyen de prendre de l’avance en cuisine !

6. Conservez avec du sel, du sucre ou de l’huile. Le sel est une solution de conservation ancestrale : vous pouvez déshydrater vos aliments avec les techniques de salaison ou tester le saumurage. Côté sucre, vous pouvez conserver des fruits et légumes en réalisant des sirops, confitures, gelées, pâtes de fruits ou encore des fruits confits. Quant à l’huile, elle peut servir d’isolant pour conserver vos olives, tomates séchées, champignons, aubergines, artichauts, pistou et autres petits fromages secs.

7. Adoptez les doggy bags et offrez-en. Vous avez vu trop large pour ce repas entre amis ? Offrez-leur un doggy bag ! N’hésitez pas non plus à le réclamer au restaurant : autant de bons petits plats qui ne termineront pas aux ordures.

QUE FAIRE DES RESTES ?

1. Le pain sec : à transformer en croutons, chapelure, pain perdu ou tartines grillées.

2. Les fruits pas assez ou trop mûrs : à transformer en compotes, confitures, gelées et autres sirops.

3. Les légumes flétris : faites en un coulis, un caviar, une purée ou encore une soupe…

4. En général : il est rare de trouver un aliment qui ne se détourne pas en gratin, quiche ou salade composée…

5. Fruit entamé : Il vous reste un ou des fruits entamés ? Frottez la face coupée avec un peu de jus de citron, vous gagnerez quelques jours de conservation.

6. Juste dose de citron : parfois il ne nous faut que quelques gouttes de son jus. Percez son écorce pour en extraire la quantité souhaitée, puis rebouchez le trou avec une allumette ou cure-dent. Ce citron durera ainsi un peu plus longtemps.

POUR UNE ACTION COLLECTIVE

1. Testez les applications anti-gaspi : Too Good To Go, Optimiam, Zéro gâchis… les applications anti-gaspillage alimentaire se multiplient. Testez l’achat à bas prix de denrées dont les dates de péremption approchent.

2. Offrez à vos voisins. Un départ en vacances en vue ? N’hésitez pas à aller sonner chez vos voisins, vous ferez peut-être des heureux et de belles rencontres.

3. Rejoignez une action associative. Les associations françaises fourmillent d’initiatives pour lutter contre le gaspillage alimentaire. Sortie glanage pour recueillir les fruits et légumes non calibrés, soup party permettant de cuisiner les restes tout en sensibilisant à ce fléau environnemental, éthique et économique, récupération des invendus de marché dans un but caritatif… Partez à la rencontre de ces acteurs du changement et rejoignez ces initiatives : elles méritent d’être soutenues.

Et vous, quelles sont vos techniques contre le gaspillage alimentaire ? 

Les vraies valeurs de ce monde sont dans l’Artisanat…